Ce n’est pas parce qu’une élection est une affaire sérieuse qu’il est interdit de sourire un peu. Dans cette rubrique que vous pouvez nous aider à remplir si telle ou telle anecdote amusante concernant la vie de notre commune vous vient à l’esprit, nous consignerons ces petites histoires sans importance. Ecrivez-nous à

carignan2014@free.fr

Carignan enfin sur le podium !

(voir partie rouge, podium deuxième marche)

 

 

 

 

1 MILLIARD D'ECONOMIE !

Monsieur JAMET, jamais à cours de facéties, explique avec le plus grand sérieux (sur son tract devenu célèbre sous l'appellation "Tract des 70 propositions", Proposition 7) qu'en ne recrutant pas de Directeur de Cabinet du Maire (indispensable, c'est bien connu, pour une commune de la dimension de Carignan) il a procédé à 280 000 € d'économie sur six ans.

 

 

LA LISTE DES 7 FAMILLES

 

Du mal à recruter ? Quand le nombre des listes se multiplie alors que le nombre des habitants n'est pas extensible, il faut trouver le moyen de recruter des candidats.

Comme la parité est devenue obligatoire sur les listes, on fait d'une pierre deux coups en recrutant des couples.

Le Conseil municipal tourne alors à la réunion de famille. Sympathique, non ?

Toute ressemblance avec des personnes existantes, ayant existé ou devant exister serait purement fortuite et entièrement indépendante de notre volonté. De même, toute ressemblance de ce scénario avec des élections municipales devant se dérouler en 2014 relèverait d'un invraissemblable hasard.

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Sûr ! C'est un peu difficile de s'y retrouver pour ces élections. Le mode de scrutin change et la liste sortante s'est multipliée (ou divisée selon le point de vue qu'on adopte) comme les pains et les poissons sur une certaine montagne il y a bien longtemps.

Pour aider l'électeur nous proposons ce petit schéma dont nous ne doutons pas qu'il apportera la lumière nécessaire à dissiper les ténèbres.

 

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Carignan : des démissions comme s’il en pleuvait !

 

 

Et ce ne sont peut-être pas ceux (celle) à qui on en a si aimablement intimé l’ordre…

 

 

Et c’est reparti ! Bientôt, peut-être, encore des élections partielles ? « Il y a quelque chose de pourri au royaume de Danemark » constatait ce bon vieil Hamlet. Qu’eût-il dit de la Principauté de Carignan  où, pour les conseillers municipaux c’est, depuis quelques années « not to be » plutôt que « to be » ?

Pourquoi cette dernière démission ? Il y avait en effet quelque chose de choquant dans le « La ferme ! » adressé à l’ex première adjointe. Oh ! Pas tant l’invitation un peu brusque à faire que la bouche soit enfin close. Non, plutôt la pauvreté du vocabulaire mis en œuvre. « Ferme ta pénible bouche », eût dit Werner Schwab. Et Rabelais eût copieusement coiffé l’impénitente d’un tombereau d’injures plus pittoresques les unes que les autres : diteux, brechedens, plaisans rousseaux, galliers, chienlicts, averlans, limessourdes, faictnéans, friandeaux, bustarins, talvassiers, riennevaux, rustres, challans, hapelopins, trainneguainnes, gentilz flocquets, copieux, landores, malotrus, dendins, baugears, tezés, gaubregeux, goguelus, claquedens, boyers d’etrons, bergiers de merde, et aultres telz epithetes diffamatoires » Gargantua.

 

 

Nous recommandons la lecture de L’Art de l’insulte. Une anthologie littéraire d’Elsa Delachair, illustrations de Yann Legendre, 10/18, 218 p., 7 € 50.<o:p></o:p>

 

 

 

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Sage conseil pour un Conseil des Sages

 

Louis XIV montra des poèmes qu'il venait d'écrire au poète Boileau afin d'avoir l'avis de ce dernier. Boileau n'était pas seulement un grand poète, il était aussi un habile courtisan. Piégé par Louis XIV, Boileau lui répondit:
- Sire, rien n'est impossible à votre Majesté. Votre Majesté a sans doute voulu écrire de mauvais vers, et Elle a réussi.

Nos sages du Conseil bientôt constitué feront-ils preuve d’autant d’esprit lorsque le bourgmestre de Carignan leur proposera des résolutions pour qu’ils y fassent réflexion ?

 

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Delphine et Jean-François, The last fight ? (le dernier combat ?)

 

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 A Carignan, proche banlieue de Bordeaux  …(pardon !) … petit village inséré dans un écrin de verdure aux portes de Bordeaux, à Carignan, donc, rien ne se fait comme ailleurs. Ailleurs, vous élisez un maire, vous l’installez à la mairie et vous lui donnez une équipe avec laquelle il va travailler au bien commun ; à Carignan de Bordeaux vous élisez un maire, vous l’installez sur un ring et vous lui donnez des sparring partners pour garantir l’animation des Conseils Municipaux. A mi-chemin plus du tiers des combattants se retrouve K.O. Alors, vous en choisissez de nouveaux. Quelques semaines plus tard encore un K.O.

Jeudi dernier (10 janvier 2013, voyez qu’on n’a pas le temps de s’ennuyer), combat des chefs. A gauche (sans connotation politique) le maire, Jean-François (on ne citera pas de nom, les personnages de cette fiction n’ayant avec des personnages réels que des ressemblances de hasard). A droite Delphine, prétendante au titre. Vainqueur aux points (mais pas encore aux poings) : Jean-François.

On attend avec impatience la prochaine rencontre …

Réservez vos places pour le Conseil du 7 février

 

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Vous n’osiez en rêver ? Notre mairie l’a fait ! 

 

 

Il y aura désormais DEUX bureaux de Poste à Carignan !

On avait craint un moment, il y a quelques années de cela,  qu’il n’y ait plus de Poste à Carignan. Voici qu’aujourd’hui IL Y EN A DEUX !

Sans doute eût-il été judicieux, avant d’ouvrir le nouveau bureau (aux horaires restreints) Maison Claverie, d’attendre la fermeture de l’ancien (aux horaires larges) : celui du SPAR. Encore eût-il fallu résilier dans les temps le contrat passé avec les sympathiques commerçants de notre supérette et qui est sensé courir jusqu’au 12 octobre 2013. C’eût été le fait d’une bonne gestion.

Et bien non ! Nous voici avec deux Postes.

Avec le choix, donc. Oui, mais aussi avec l’embarras du choix !

Dans laquelle achèterons-nous nos timbres ? Dans laquelle affranchirons-nous nos courriers ? Dans laquelle retirerons-nous nos objets en instance ?

Souhaitons que la mairie nous fournisse un mode d’emploi suffisamment clair. Et souhaitons aussi qu’elle ne nous l’envoie pas … par la Poste

 

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Le bourgmestre et la maréchaussée. 

 

Samedi matin 13 octobre, alors qu'il n'est plus autorisé de distribuer sur la voie publique tout prospectus et tract à partir de la veille du scrutin à 00 H 00, Monsieur le Maire et quelques membres de son équipe dispensaient encore des tracts et prodiguaient des conseils aux électeurs devant le SPAR du centre commercial.

 

La gendarmerie a dû intervenir pour rappeler à la loi les contrevenants et leur demander de regagner sagement leurs pénates.

Nous n’accorderons pas à cet incident plus d’importance qu’il en comporte. Pas d’avantage nous n’en ferons une chanson. Rappelons simplement qu’il est un temps pour chaque chose et que quand c’est fini, … c’est fini

Mardi 16 Octobre 2012 à 18h37

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